24/11/2010

Un poème épique basé sur un jeu mythique!

Nous nous excusons bien bas de ne rien avoir posté depuis septembre, mais étant donné que personne ne nous lisait à l'époque, il est évident que notre voyage en Islande en tant que bénévoles pour la WWF histoire de sauver les rats des champs victimes de diarhée suite à l'éruption du volcan Eyjafjöll (ça se prononce comme ça s'écrit). Voici une oeuvre que j'ai composée dans mes méditations métaphysiques (toute ressemblance avec des cartes serait fortuite) au sommet d'un cratère (qui se trouve paradoxalement plus bas que les bords, par le fait que c'est un cratère. Vous m'énervez, z'êtes pas attentifs).


Amis, voici venu le temps des déprédations !

De rallier tous les peuples à notre nation !

L’abasiophilie jamais ne triomphera,

Par notre vaillance toujours périra

Dès que nous la trouverons sur notre route

Elle tombera, ensevelie par nos tourtes !

Du fin fond de la mythique dodécapole

Rugissent et grognent les immondes trolls.

Rassemblant en nous le courage et la peur

Le fruit synesthésique de toutes nos ardeurs

Donnons l’assaut à leur horrible roi

Celui que les écrits nomment Panda !

Gravons dans le marbre cette bataille acharnée

Qui nous donna vainqueurs de Coucouville-les-Nuées.

Dans vingt siècles j’en suis sûr, coulera encore

L’encre de notre ère, celle du dadaïsme d’or.

Ô Muse, chante pour nos enfants à présent

La défaite suivante, celle de Jérémy le Grand.

Le vil ex-concubin du défunt roi Panda

Lui survécut et, bien vite, de nous se vengea.

La bataille fut plus rude, plus épicée aussi

Qu’une sauce aux poivrons, préparée au Chili !

Les dystiques élégiaques, des poètes passés

Jamais ne suffiront, pour pouvoir exprimer

Le fait concomitant, à cette âpre revanche

Qui sur notre étendard, laisse une trace blanche.

Sombre époque, où même l’apophonie vocalique

Ainsi que le rhotacisme, c’est bien logique

Tombèrent en désuétude durant plus de 5 ans

Qui suffirent à peine, contre Jérémy le Grand.

Qu’aurions-nous fait, ô Muse qui chante le vrai,

Sans l’envoi divin, d’une armée de poneys ?

Seule sa puissance, grande et dévastatrice

Permit de réduire à néant son maléfice.

Une tomographie n’aurait certainement pas suffit

Pour observer les restes, de l’ennemi anéanti !

Le royaume de Coucouville, aujourd’hui m’appartient.

Cette terre, marquée d’un LFO, est à présent aux miens.

Land of Faithful Orcs, verra naître des guerriers.

Bercés dans la quiétude des hamamélidacées.

Lipopolysaccharides, gloire et beauté.

Forgeront pour eux une belle destinée.

Quant à moi, je signe le récit de mon peuple avant de partir,

 Avec l’espoir qu’il persiste après mon dernier soupir !


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